J'ai appris à coder sur le tas. D'abord en copiant des bouts de code, puis aux contacts des autres. J'ai toujours été fasciné par la magie du terminal, mystifié depuis les années 80 par Matthew Broderick en train de modifier ses bulletins de notes et ses absences à distance que ce soit dans War Games ou dans Ferris Bueller. L'incroyable efficacité du code, son pouvoir à travers l'espace, son implacable logique. Le manichéisme parfaitement binaire. Et puis la beauté des lignes bien usinées, comme mécaniques.